Les soignants déplorent le fait d’être invisibilisés par le projet patrimonial mené sur le site de la Grave. Photo Armelle Parion
Avec son dôme gris‐vert, il est le monument le plus photographié de Toulouse. En son cœur, la chapelle Saint‐Joseph, classée depuis 1978 aux Monuments historiques, domine sur la rive gauche de la Garonne, le site de 4,8 hectares. Au‐delà de la carte postale, celui‐ci est le berceau de l’histoire hospitalière de la cité.
Depuis le 12e siècle, ses bâtiments ont été destinés aux soins, accueillant d’abord les pestiférés, puis les mendiants, les prostituées et les personnes souffrant de troubles psychiatriques, en particulier lors du Grand Renfermement, aux 17e et 18e siècles.
Cette histoire, racontée aux visiteurs du musée inauguré en 2022...
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