Rassemblement en soutien aux syndicalistes mis en cause sur le site d’EDF à Cordemais, en février 2025. Photo : PCF 44
Plus d’un an après les détonations, le couperet est tombé. Six membres de la CGT de la centrale électrique de Cordemais, dont les principaux responsables de la section syndicale, ont été placés en garde à vue ce mardi 7 octobre. Deux d’entre eux ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel pour « violences avec arme, en réunion », a confirmé le procureur de la République de Nantes, Antoine Leroy. « Une criminalisation de l’action syndicale », dénonce Christophe Jouanneau, le secrétaire général de la CGT Mines Énergie 44. « Défendre l’emploi n’est pas un crime », écrit de son côté Matthias Tavel, député LFI de Saint‐Nazaire.
Les...
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