Après Fronton en 2020, c’est à Toulouse que Julien Léonardelli devrait représenter le Rassemblement national en 2026. / Frédéric Scheiber
Jean‐Marie Le Pen lui a donné la foi. Une ferveur qui jamais n’a vacillé et guide les pas de Julien Leonardelli depuis l’adolescence. Probable candidat à la mairie de Toulouse qu’il ne raflera pas, mais où il compte imposer la voix de l’extrême droite au sein de l’opposition, le patron du RN haut‐garonnais est entré en radicalité comme d’autres dans les ordres. Du parti à la flamme, l’Ariégeois de 38 ans, a entendu l’appel tout jeune. Et y a cédé sans résistance. « C’était mon chemin », poétise celui qui, depuis juin 2024, officie comme
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