Le crématorium de Nantes. Source : Wikimedia Commons
L’information, glissée au détour d’une délibération du dernier conseil métropolitain est passée parfaitement inaperçue. La motion portait pourtant sur le devenir d’un service public pour la prochaine décennie. Pour l’auteur de ces lignes, ce profond désintérêt est néanmoins tout sauf une surprise.
Comme nous le racontons en longueur dans Les Charognards (à paraître ce vendredi 17 octobre aux éditions du Seuil), les crématoriums – Nantes Métropole en compte deux, à Nantes et Saint‐Jean‐de‐Boiseau – sont aujourd’hui dévoyés en « filons lucratifs » pour les géants privés du secteur funéraire… avec la complicité des collectivités locales.
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