Fin 2023, le parquet antiterroriste découvrait que plus de la moitié des personnes mises en cause dans des procédures terroristes, majoritairement djihadistes, avaient moins de 18 ans. Fin 2024, les services de renseignement anglo-saxons et Europol tiraient la sonnette d’alarme au sujet de la radicalisation extrémiste d’adolescents, majoritairement d’ultra-droite et/ou sataniste. Une enquête de Libération indique que les services de renseignement russes recourent, eux aussi, de plus en plus à des ados « jetables ».
« Plus de la moitié des mis en cause dans des procédures terroristes depuis janvier 2023 ont moins de 18 ans », révélait une enquête...
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