Marche des solidarités à Paris, le 14 décembre 2024.
Le 18 décembre, Journée internationale des migrant·es, nous nous arrêterons. Nous, les travailleuses et travailleurs les plus précarisés de France, souvent sans papiers, issus de l’immigration, exploités, invisibilisés, nous ferons grève. Et si nous nous arrêtons, c’est pour rappeler que sans nous, rien ne tourne. Car ce pays n’existe pas sans l’immigration et en bénéficie de tous points de vue. Ce n’est pas l’immigration qui le détruit, ce sont les politiques menées, le racisme et l’injustice.
Le mouvement du 10 septembre « Bloquons tout » et les grèves du 18 septembre...
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