René Martin en direct de la Folle journée à la Cité des congrès de Nantes, en 2024. Photo : compte Facebook de la Folle journée
Éteindre l’incendie avant qu’il ne se propage et devienne hors de contrôle. Voilà ce qui semble guider les réactions officielles après nos révélations sur René Martin. La semaine passée, Mediacités et La Lettre du musicien publiait une enquête au long cours sur le pape de la Folle journée de Nantes. Cette figure incontournable de la musique classique chapeaute 14 festivals ou saisons de concerts par an, très largement subventionnés par les collectivités, Nantes en tête.
D’abord, nous révélions sa gestion financière discutable avec une forte porosité entre ses dépenses personnelles et professionnelles au sein de son association, le Créa. Ensuite,...
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